NAJAT BELKACEM : UN GALUCHAT DE LA REPUBLIQUE

   Les Galuchats sont des politiques sans racines nationales profondes et qui veulent absolument valider une appellation controlée “bon français“ en obtenant un portefeuille ministériel.  Ils aspirent donc très vite à un “maroquin“. Non pas en peau de chèvre comme il se doit, mais en peau de requin (galuchat) car c'est plus brillant et plus cossu.

   Leur arrivée aux manettes (ou aux postes clés) se fait, souvent, par une navigation plus ou moins adroite en eau trouble. 

 

Leur engagement, bien sûr, se fait à gauche (où les spectateurs sont moins regardants). Mais c'est plus le fruit de circonstances que celui d’une réelle volonté de se mettre au service du bien commun. Chez le “galuchat“ c’est d'abord le projet personnel qui domine.

A quoi peut-on reconnaître les “galuchats“ ?

1. Ils sont des français de fraîche date.
2. Ils jurent facilement qu'ils aiment la France.
3. Ils ont été éduqués avec succès dans les écoles de la république.
4. Ils parlent un français impeccable.
5. Ils font preuve d’une fluidité verbale au dessus de la normale qui leur donne un avantage indéniable sur leurs congénères..      

Quels avantages présentent ces individus  ?

• Ils sont la preuve que l’éducation nationale peut donner des résultats... lorsque les jeunes s’emparent des ressources mises à leur disposition.
• Ils débordent d'énergie pour réussir en politique et nagent avec aisance en eau trouble.

Quels sont leurs inconvénients ? 

• C'est d'abord le manque de souplesse qui rend rapidement leur présence problématique dans les équipes gouvernementales. Leurs ruades au nom de valeurs personnelles vagues sont la preuve que ce n’est pas l‘action collective qui les motive, mais bien l'intêret personnel et immédiat.
• Leur engagement est à géométrie variable car il est d’abord dicté par un comportement de type bras d’honneur, donc sujet à tous les retournements en fonction des proies qui se présentent. 

Quelle conclusion peut-on en tirer ?

• Le galuchat n'est pas un bon investissement pour le collectif, même si c'est un sujet brillant. Car la réussite n'est qu'un leurre pour cacher un splendide et délétère complexe de l'imposteur