Le blog de dominiquequenin.over-blog.com

Le blog de dominiquequenin.over-blog.com

humeur, humour, curiosité, paradoxe, coups de gueule, délices, délires, désirs... Et une touche de complotisme, histoire de faire passer quelques vérités.


Quelles sont toutes les méthodes utilisées pour accélérer notre disparition ?

Publié par Jean-Luc Bailly sur 3 Janvier 2024, 18:18pm

Quelles sont toutes les méthodes utilisées pour accélérer notre disparition ?

En 2012 j’écrivais sur ce blog :

« Je suis content d'avoir découvert dans le Paris MATCH de n°3271 (du 26 janvier au 1er février 2012) un article sur les dangers liés aux benzodiazépines, signé par François de Labarre. Je suis même très content de cette mise en accusation de molécules qui semblent provoquer en grand nombre des ravages redoutables : tentatives de suicides, suicides, agressivité... voire meurtres, toutes choses qu’on nous dit liées à des troubles psychiatriques ».

Les benzodiazépines c'est quoi ? Voici quelques noms de médicaments à base de benzodiazépines pour bien mettre les idées en place : Valium, XanaxLexomilRivotril, Tranxène, Urbanyl, Rohypnol etc. (J'ai souligné ceux pour lesquels j'ai constaté une relation de cause à effet entre prise de la molécule et tentative de suicide).

     Benzodiazépines, combien de morts ? Voilà une question fondamentale que j'ai vue posée en 2012, publiquement, pour la première fois. Encore bien timidement, il est vrai, tellement l'industrie pharmaceutique sait se montrer menaçante

Pour pousser la réflexion jusqu'au bout, j’ai pensé que les suicides en série chez Orange dans ces années-là, par exemple, mériteraient d'être examinés sous l'angle des réactions paradoxales aux benzodiazépines avant d'accuser le management... Pareil pour les nombreux suicides dans la police.

En attendant précipitez-vous sur les archives de Paris Match et photocopiez l'article pour le distribuer autour de vous, afin que les gens sachent ce qui guette les malheureux qui absorbent ces poisons.

Entre 1 et 5% d'effets secondaires ? C'est ce qu'ils disent ! Mais qui en a fait le décompte ? Et dans quelles conditions ?

Les cas que j'observe, et ce que j'entends ici ou là chez mes confrères, me permettent de penser que les chiffres sont bien supérieurs et que cette catastrophe sanitaire demande une grande enquête nationale, voire internationale. Car il est inacceptable de laisser certains médecins se cacher derrière les explications ahurissantes de soi-disant experts qui osent affirmer que les effets paradoxaux constatés lors d’agressions sont le fruit de l'évolution naturelle de maladies mentales qui s'aggravent.

     Cette mise en garde était claire mais elle n’a pas porté ses fruits.

Depuis nous avons à faire face à d’autres curiosités sanitaires qui permettent de penser qu’il existe peut-être, en coulisse, une volonté perverse visant à faire mourir le plus grand nombre de personnes possibles au lieu de chercher à faire progresser la médecine pour le mieux-être de tous. 

Pour informer ceux que ça intéresse, j’aborderai dans ces tribunes trois problèmes sanitaires majeurs et j’apporterai des éléments suffisamment sourcés pour aider les gens à sortir d’un déni mortel :

Celui du tabac, celui des benzodiazépines, celui de l’amiante, parce qu’ils me paraissent tous liés.

LE PROBLEME DU TABAC

     J’ai découvert grâce à Stéphane Foucart, dans son livre intitulé La Fabrique du mensonge, publié en 2013 chez Denoël, des choses ahurissantes.

     Il rapporte des mémos et des rapports internes des cigarettiers et l’un d’eux mérite qu’on s’y attarde. Je cite mot à mot les phrases clés de la page 38 de son livre :

« on peut citer ce mémo interne de British American Tobacco (BAT) rédigé en 1978 : le tabac a pour fonction sociale de limiter le nombre de personnes âgées dépendantes que l’économie doit supporter »

« avec l’augmentation générale de l’espérance de vie nous avons vraiment besoin de quelque-chose dont les gens meurent… »

Source : http:légacy.library.ucsf.edu/tid/msu40a99

Après ce scandale du tabac, typiquement destiné à faire mourir les gens, je vais revenir sur le problème des benzodiazépines soulevé par François de Labarre en 2012, sans, d’ailleurs, que personne n’ait jamais rebondi (sauf l’ANSM qui, suite à la loi Sapin 2, a mis en place en 2016 une procédure de recueil des signalements faits par les lanceurs d’alerte (professionnels de santé), sans doute pour identifier d’abord les empêcheurs de tourner en rond et pour les dénoncer au conseil de l’ordre pour qu’ils soient sanctionnés comme on a pu le constater avec l’affaire covid-19).

     Compte-tenu de ce que nous savons maintenant des objectifs de la mafia mondialiste, j’ai analysé ce que représente cette molécule et j’ai noté les éléments suivants à transmettre à tous :

  1. L’absence de toute mention de l’effet désinhibiteur pouvant conduire à des conduites suicidaires ou à des réactions de violence hors du commun allant jusqu’au meurtre. Ne sont signalés que des effets secondaires d’agressivité et des épisodes d’amnésietotale temporaire ou sémantique, voire, chez les personnes âgées l’évolution vers la dépression respiratoire mortelle (RIVOTRIL).
  2. Il existe sur le marché aujourd’hui 74 spécialités contenant des dérivés de la benzodiazépine. Commercialisés sous des noms variés depuis l’Aprazolam Arrow jusqu’au Xanax en passant par le Valium, le Tranxène ou l’Urbanyl pour ne citer que les plus courants.
  3. Les dérivés des benzodiazépines figurent sous le numéro NO5BA dans le classement ATC (L’Anatomical Therapeutic Chemical est la classification utilisée pour classer les médicaments)Le sigle NO5 y représente la classe qui nous intéresse, celle des psycholeptiques, et le sigle NO5BA est attribué aux dérivés des benzodiazépines.
  4. Le sigle de classement ATC figure sur la notice (celle sur laquelle on voit : à lire avant chaque utilisation) qui décrit les effets secondaires que l’on trouve dans chaque boite de médicament.
  5. L’absence de mise en place par l’ANSM de comités scientifiques temporaires sur le sujet des benzodiazépines.  

     Mon expérience médicale m’ayant permis de soupçonner une influence du Rivotril dans plusieurs suicides ou tentatives de suicide chez des adultes jeunes, et ne faisant plus confiance à l’ANSM qui a failli dans sa mission de surveillance des produits de santé lors de la crise covid, il me paraît sage de passer par les médias non mainstream pour alerter les gens. Je considère ainsi que tous les suicides, agressions, meurtres devraient faire l’objet d’une recherche (par les officiers de police judiciaire) de prise ou non de médicaments contenant des dérivés de benzodiazépines en recherchant simplement les codes ATC figurant sur les notices des médicaments trouvés à proximité d’une scène de violence.

     Enfin, cerise sur le gâteau, je me suis intéressé aux entreprises qui produisaient ces médicaments. J’ai choisi le dernier figurant sur la liste des spécialités contenant des dérivés des benzodiazépines, c’est-à-dire le Xanax. Eh bien il s’agit de l’entreprise Viatris Pharmaceutical, dont le Headquarters se trouve à Canonsburg en Pennsylvanie. Plus loin j’ai trouvé que Viatris était née de la fusion, en novembre 2020, de MYLAN avec UPJOHN, ce dernier étant une filiale de PFIZER’S established Médecines division… 

 

 

 

 

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents